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DÉFENDRE

Stop au burkini : La France est une terre d’émancipation et non de soumission !
Communiqué du 17 mai 2022

L’association La France en Partage qui transmet et défend les valeurs de la France et de la République ne peut que s’opposer à la décision du Conseil municipal du 16 mai 2022 autorisant le burkini dans les piscines municipales de Grenoble.


Nous saisissons donc le Tribunal pour obtenir l’annulation du burkini dans les piscines et nous saluons tous ceux qui envisagent d’en faire de même.

Que ce soit pour des raisons idéologiques ou électorales, cette décision heurte ce que nous avons en partage : notre culture et une conception exigeante de l’égalité entre les hommes et les femmes.

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Cette conception n’est plus celle de nos arrière-grands-parents et le Maire de Grenoble fait réapparaître par la grande porte de nos services publics les injonctions vestimentaires visant à cacher le corps des femmes.


Que le prétexte soit religieux ou politique, ce burkini est un instrument de discrimination, voire de ségrégation, entre les hommes et les femmes et révèle une volonté de rendre ces dernières invisibles.


Certes, Eric Piolle invoque la libre servitude des femmes qui souhaitent le revêtir. Mais depuis La Boétie et son Discours de la servitude volontaire, nous savons que cette liberté n’en est pas une.


La France est une terre d’émancipation ! Elle n’est ni une terre de propagande des religions, ni une terre de soumission !


Autoriser le burkini, c’est porter atteinte à l’égale dignité entre les êtres humains, ce que nous ne pouvons accepter et ce que le Droit ne peut tolérer.

Autoriser le burkini, c’est pactiser avec l’un des symboles les plus visibles de l’islamisation de notre société.


C’est notre héritage culturel que la Mairie de Grenoble vend à ceux qui se délectent de le piller : celui d’une nation attachée à une figure du citoyen qui n’est pas prisonnier de ses appartenances communautaires.

 

Enfin, l’existence même d’un peuple et d’une nation, gravés dans notre Constitution, suggèrent le respect de la prévalence de la culture française.

Pour toutes ces raisons, La France en partage saisit la justice.

L'équipe de La France en partage 

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